
Le Théâtre de l’Athénée, à Paris, accueille jusqu’à dimanche une poétique version du chef-d’œuvre de Purcell.
Johannes Pramsohler et l’ Ensemble Diderot : «un raffinement digne des plus grands. Un musicien à suivre de près.»
Le Théâtre de l’Athénée, à Paris, accueille jusqu’à dimanche une poétique version du chef-d’œuvre de Purcell.
Johannes Pramsohler et l’ Ensemble Diderot : «un raffinement digne des plus grands. Un musicien à suivre de près.»
Aux côtés de l’Ensemble Diderot dirigé par Johannes Pramsohler, l’Arcal revisite avec des parti-pris osés cette œuvre que l’on retient volontiers comme le premier opéra anglais.
[…] prestation phénoménale, subtilement détachée de Chantal Santon Jeffery […] Yoann Dubruque convaincant pour la force de projection vocal […]
Enfin, Johannes Pramsohler dirige au violon son Ensemble Diderot avec aisance.
Le metteur en scène Benoît Bénichou a choisi de revenir aux sources virgiliennes de L’Énéide, et complète l’opéra d’un prologue s’inspirant de celui (perdu) du livret original.
Plus de 100 personnes se sont déplacées pour admirer et écouter la petite fille de la lune.
Parents et enfants sont repartis heureux et le cœur un peu plus léger…
[…] cette version revisite cette histoire d’amour mythique où pouvoir et passion s’allient pour mieux déchirer l’âme humaine… A découvrir.
[…] tout le pari fort réussi, de la production, est de jouer sur l’ambivalence permanente.